Parler de l’immigration, tout le monde le fait. Par contre, Stéphanie Bocart est allée plus loin. En proposant des regards variés, complémentaires, de femmes de générations différentes.
diffusion
Le Libre Belgique
l'enquête
Portraits de femmes issues de l’immigration. Quatre générations de Marocaines et de Turques.
C’était il y a 50 ans. La Belgique avait besoin de main-d’œuvre. Des conventions ont alors été signées avec le Maroc et la Turquie pour faire venir des ouvriers pour travailler dans les mines, la sidérurgie, la chimie, les transports et la construction.
Ces ouvriers ont ensuite été rejoints par leur famille. Et plusieurs générations sont nées en Belgique. (Photo Johanna de Tessières)
caractéristiques
Stéphanie Bocart, pour le texte, et Johanna de Tessières, en photo, ont été à la rencontre des femmes issues de cette immigration. Elles proposent des portraits de femmes de quatre générations, ainsi que des dialogues intergénérationnels.
Une manière d’aller au-delà des tabous, de ne pas rester sur des aprioris, et d’apprendre à découvrir l’autre que l’on côtoie quotidiennement sans le connaître. (Photos Johanna de Tessières)